Un Réveillon presque parfait


Par Luigi 2

Cette année, c’était au tour de Luigi et Daisy d’accueillir Mario et Peach pour fêter le réveillon de Noël. L’année dernière, la fête de ces derniers avait été si réussie qu’ils avaient placé la barre très haute pour Luigi, mais surtout pour Daisy qui voulait que tout soit parfait.
La soirée commença tranquillement. Les invités s’assirent à la table du salon, où il y avait une chaise de trop. Le sapin était très bien décoré. A côté de cet arbre de Noël était allumée la cheminée. Chomp, le chien de la maison, dormait paisiblement. Dehors, il y avait un peu de neige au sol, mais pas assez pour recréer une bonne ambiance hivernale.


DAISY : Alors, c’est prévu pour quand l’accouchement ?
PEACH : Pour le 24 janvier. Mais je n’ai pas encore choisi le prénom…
LUIGI : J’aime bien Eva comme prénom.
PEACH : Tout le monde va dire Eva où !
DAISY : Ou Jessica ?
PEACH : Jessica Nettedanslefrigo !
LUIGI: Sarah alors ?
PEACH: Sarahcroche !
MARIO: Je crois qu’on va l’appeler Bébé Peach.
LUIGI : C’est beau, c’est simple.
DAISY : Et sinon quoi de neuf ?
PEACH : Bah je suis devenue l’esthéticienne en chef ! Mais à part, rien d’autre… Ah si, je me suis engagée dans une association. Je tricote des gants à trois doigts pour les petits lépreux africains !
LUIGI : Ca ne leur sert à rien des gants en Afrique ! C’est la sécheresse là-bas. Et une paire de chaussettes aurait suffit.
PEACH : Pas bête !
DAISY : Au fait, nous sommes désolés, mais des gars vont venir vider notre fosse septique ce soir !
MARIO : Vous avez encore une fosse septique ?
LUIGI : Oui, c’est une vieille maison !

On sonna à la porte. Daisy partit ouvrir. Une SDF, sale mais qui avait de jolies formes, tenait entre ses mains un plat où reposait une drôle de buche, probablement en chocolat.

PAULINE : C’est pour vous ça !
DAISY (en prenant le plateau): Euh… ben… merci !
PAULINE : Par contre, ‘va falloir me donner quelque chose en échange ! J’offre pas ça pour rien !
DAISY (s’énervant) : Ah bon ? Et vous voulez quoi ?
PAULINE : Une bouteille de vin siouplé. Il fait froid dans la rue…

Daisy soupira, mit le gâteau dans la cuisine, puis partit chercher une bouteille de vin à la cave. Elle la donna à la clocharde et revint s’asseoir.

LUIGI : C’était qui ?
DAISY : La clodo !
LUIGI : La vieille ou celle avec une forte poitrine ?
DAISY (regardant son mari de travers) : Celle avec une forte poitrine !
MARIO : Et sinon, euh… on va les ouvrir quand les cadeaux ?
DAISY : Après manger ! Mais je vous préviens, nous ne roulons pas sur l’or donc ce ne sont pas de très grands cadeaux.
PEACH : Nous le savons bien.
DAISY : Bon, je vais commencer à faire cuire les homards !

Daisy partit dans la cuisine, et elle mit ses homards dans une casserole.

PEACH : Au fait, vous avez vu mes nouvelles chaussures ? Elles ont coûté 500 € ! J’y tiens plus que tout !
LUIGI (en regardant) : Ah oui… C’est très euh… beau !
PEACH : Le premier qui me les abime, je le tue !

La sonnette retentit. Daisy soupira, et ouvrit la porte.

PAULINE : J’suis désolée, mais votre vin, il a un goût de bouchon !
DAISY : Pourtant, vous avez vidé ma bouteille !
PAULINE : Peut-être, mais moi, j’vous ai donné un bon gâteau. Donc je veux un bon truc en échange. Reprenez votre bouteille !
DAISY (s’énervant) : Vous m’énervez sale clodo !

Daisy claqua la bouteille vide au sol. La bouteille se brisa. Luigi intervint.

LUIGI : Nous sommes désolés mademoiselle. Pour nous faire pardonner, nous vous invitons à passer le réveillon avec nous !
DAISY : Comment ?!
PAULINE : Oh… Bah j’veux pas déranger, mais si vous insistez. C’est par où qu’on va ?

Luigi lui montra la direction du salon. Pauline partit s’asseoir sur la cinquième chaise. Daisy emporta son mari dans la cuisine.

DAISY : Pourquoi as-tu invité cette vieille poilue ?!
LUIGI : Bah un peu de charité. Peach fait des gants pour les lépreux, moi j’invite une clocharde, voilà tout !

Daisy prit un plateau de toasts et le couple revint dans le salon.

DAISY : Voici les toasts au foie gras !
PEACH (en avalant trois toasts d’un coup): Miam !
PAULINE (en recrachant à terre le toast) : Beurk ! J’aime pas le foie gras !
DAISY : Attendez, j’ai quelque chose qui devrait vous plaire.

Daisy se dirigea à nouveau vers la cuisine. Elle prit la pâtée de Chomp et l’étala sur des toasts restants. Elle servit ces toasts à Pauline qui en goûta un.

PAULINE : Hum…. C’est délicieux !
DAISY : J’étais sûre que ça vous plairait.
PEACH : Au fait, depuis combien de temps êtes-vous SDF ?
PAULINE : Bah… depuis que mon père s’est pendu et que ma mère a été dévorée par les loups, il y a dix ans !
PEACH : C’est affreux !
PAULINE (en baissant la tête) : Et depuis que j’suis clodo, tout le monde m’évite.
PEACH : Mais non, il y a plein d’avantages à côtoyer une SDF.
PAULINE : Ah bon ?
PEACH : Bah oui… Euh… Quand on dîne avec une SDF, on sait qu’on n’est pas la plus poilue à table par exemple !
DAISY : Effectivement.
PAULINE : Ah ça oui ! J’peux le confirmer !
MARIO : Et vous n’êtes pas mariée ?
PAULINE : J’crois que si ! Mais mon mari fait un métier pas très propre vous savez…
LUIGI : Eboueur ?
PAULINE (s’énervant) : N’importe quoi ! Et pourquoi pas ramasseur de poubelles tant que vous y êtes !
LUIGI : Alors que fait-il ?
PAULINE : Il vend des cadavres de chiens !
LES AUTRES (dégoûtés): Beurk !
MARIO : Et vous avez déjà eu des enfants ?
PAULINE : Bah bien sûr !
MARIO : Combien ?
PAULINE : Je dirais une bonne dizaine.
LES AUTRES (très surpris): Combien ?!
PAULINE : On trouve des cadavres de chiens, de chats, de rats et parfois d’enfants ! Mais on peut rien en tirer de ces derniers donc on les laisse !
LES AUTRES (encore plus dégoûtés) : Beurk !
DAISY : Euh… Je vais chercher les homards !

Daisy s’éclipsa dans sa pièce favorite.

PAULINE : Au fait, vous avez des métiers ?
PEACH : Je suis esthéticienne. Mon mari est plombier.
LUIGI : Je suis plombier aussi. Et ma femme est infirmière.

Daisy revint avec plusieurs plateaux et bols contenants des homards, de la mayonnaise, de la salade, et des bols remplis d’eau pour se rincer les mains.

DAISY : Deux homards pour cinq personnes. Ca devrait suffire ? De toute façon, il y a la garniture !
PAULINE (surprise): Le homard, il vient de cligner des yeux !
DAISY : Ben voyons !

Soudainement, les homards se sauvèrent du plateau et tombèrent de la table. Chomp se réveilla et se mit à les mordre.

DAISY : Ah… J’ai dû me tromper dans la cuisson… Bon, je vais chercher autre chose.

Daisy retourna pour une énième fois dans sa cuisine. Elle revint cinq minutes plus tard avec des assiettes de raviolis.

DAISY (en s’asseyant) : Désolé, mais c’est tout ce qu’il me reste.
PAULINE : Vous mangez pô de dinde à Noël vous ?
LUIGI : Non, nous n’aimons pas les traditions !
DAISY : Et sinon, qui va se déguiser en Père Noël ce soir ?
PEACH : Bah, ce sera celui qui aura la plus courte !
MARIO & LUIGI (très surpris): Pardon ?!
PEACH : La plus courte paille ! On vous en donnera tout à l’heure ! Pour l’instant, on mange !
DAISY : D’ailleurs Pauline, utilisez vos couverts ! Ce sera mieux !
PAULINE : J’ai plus l’habitude ! Sinon, elle est bonne votre soupe ! Vous me donnerez la recette !
DAISY : Ah… c’est pour se rincer les mains !
PAULINE : Ah… D’accord !

Pauline trempa ses mains et mit de l’eau sur son visage et ses cheveux.

PAULINE : Je suis blonde normalement. Mais la saleté a rendu mes cheveux noirs !
PEACH : Charmant !
MARIO : Au fait, Pauline, n’avez-vous pas remarquez que nous sommes six à table ?
PAULINE : Bah, on est six avec le chien !
MARIO : Mais non, quelqu’un est enceinte !
PAULINE : Je me disais bien qu’elle avait un petit ventre… Félicitations Daisy !
DAISY : Quoi ?!

Daisy donna une gifle à Pauline. Puis la maîtresse de maison partit dans la cuisine. Elle revint avec le dessert. Normalement, c’était seulement de la crème glacée. Mais Daisy apporta la drôle de bûche de Pauline.

DAISY (toujours en colère) : Mangez !
PEACH : Ben coupe nous le gâteau alors !

Daisy tenta de couper le gâteau de Pauline mais celui-ci glissa telle une savonnette sur le sol, en laissant une grosse tâche sur la moquette.

PAULINE : Mon gâteau est foutu !
DAISY : La tâche est nettoyable au moins ?
PAULINE : Oh que non ! Même si la moquette brûlerait, la tâche résisterait !
PEACH : De toute façon, votre gâteau, on aurait vraiment dit qu’il venait tout droit d’une poubelle !
PAULINE (s’énervant) : C’est pas parce que j’ai trouvé les ingrédients et le plateau dans une poubelle que mon gâteau en lui-même est une ordure !
DAISY (en distribuant les glaces) : Ne vous énervons pas, il y a de la crème glacée.
PAULINE : Et mon gâteau, vous allez le laisser sur la moquette ?
DAISY : Ah oui, c’est vrai.

Daisy alla chercher des gants puis ramassa le gâteau avant de le jeter à la poubelle. Puis elle se débarrassa des gants.

DAISY : Si Chomp avait mangé ça, il aurait pu tomber malade !
LUIGI : Il est 23h. Les videurs de fosse septique ne devraient pas tarder…
PEACH (tendant deux pailles) : Il est l’heure de tirer !

Mario et Luigi prirent chacun une paille. Mario avait la plus courte. C’était à lui de se déguiser en Père Noël.

PEACH : Et tu passeras par la cheminée !
MARIO : Tu es sûr que je peux passer ?
LUIGI : Ne t’inquiète pas, j’ai déjà réussi à entrer dans la maison par cette cheminée.
DAISY : Il avait oublié les clés à l’intérieur !

Mario enfila le déguisement, et monta sur le toit avec une échelle. Il s’engagea dans la cheminée mais se retrouva rapidement coincé.

MARIO : Aidez-moi ! Et éteignez le feu !

Luigi se munit d’une serviette et la jeta sur les flammes. La serviette prit feu, et mit feu au sapin. Daisy et Peach arrivèrent avec plusieurs seaux d’eau. Tout fut éteint. Le sapin n’existait plus. Mais Pauline eut le temps d’éloigner les cadeaux du brasier. Luigi entra dans la cheminée pour tirer son frère.

LUIGI (en tirant) : Fais un effort ! Mais quelle idée tu as eue de passer par la cheminée !
MARIO : C’est toi qui as confirmé que je pouvais passer !
LUIGI : Oui, mais avec l’oreiller qui sert à imiter le ventre du Père Noël, tu ne passes plus !
DAISY : On n’a qu’à appeler les pompiers !
PEACH : Et qu’est-ce que je vais leur dire ? Allô, mon mari est coincé dans la cheminée comme un gros con ?!
DAISY : Bah oui !

Peach prit le téléphone et composa le 18.

PEACH : Allô, mon mari est coincé dans la cheminée comme un gros con !
CAPITAINE YOSHI : Euh… d’accord. Vous avez essayé de le décoincer ?
PEACH : Oui, en vain.
CAPITAINE YOSHI : Nous arrivons tout de suite !

Peach raccrocha.

DAISY : Euh… tu n’as pas dit où on habitait ?
PEACH (confuse): Oh… Bah ils vont localiser ton téléphone avec ton GPS.
PAULINE : Et si on ouvrait les cadeaux ?
PEACH : Mais Mario est toujours coincé !
LUIGI : De toute façon, ce n’est pas ça qui le décoincera !
PEACH : Bon, bah si tu insistes autant…

Peach donna à Luigi et à Daisy leurs cadeaux. Ils les ouvrirent.

LUIGI : Oh… une serpillère ! C’est gentil !
PEACH : Mais non, c’est un gilet que je t’ai tricoté !
PAULINE : J’ai le même dans mon carton !
LUIGI : Ben merci Peach.
DAISY : Tu m’as acheté du parfum ? Je ne sens pas bon, c’est ça ?
PEACH : Mais si tu sens bon, c’est pour euh… que tu sentes meilleur !
DAISY : Bon bah merci. On se fait la bise ?

Daisy et Luigi embrassèrent Peach puis serrèrent le pied de Mario, toujours bloqué dans la cheminée. Puis Daisy donna à Peach son cadeau, et celui de Mario. Peach ouvrit.

PEACH : Un appareil pour supprimer la cellulite ?
DAISY : Oui.
PEACH (vexée) : Ben merci. Dites que j’ai de grosses fesses tant que vous y êtes !
DAISY : Tu n’as pas de grosses fesses. Cet appareil te permettra de… euh… garder tes fesses fines !
LUIGI : C’est ça !
PEACH : Et pour Mario, vous avez acheté… le calendrier de Candy Kong, la célèbre actrice pornographique ?!
MARIO : Chouette !
DAISY : C’est ce qu’il voulait !
PEACH : Ben voyons !

Peach donna discrètement le calendrier à Chomp, qui le rongea. On sonna à la porte. Daisy partit ouvrir.

TOAD (soûl) : Nous venons… hic… vider votre fosse sept…hic !
DAISY : Ah d’accord, vous avez déjà fêté le réveillon apparemment !
TOADETTE (ivre aussi) : On vient juste… hic… de commencer… hic !
DAISY : La fosse est juste là, vous pouvez commencer !

Toad et Toadette entrèrent dans la maison avec un énorme tuyau. Ils ouvrèrent la fosse puis mirent le tuyau dedans. Mais Toad tira le levier au lieu de le pousser. Au lieu d’aspirer, le tuyau rejeta tout ce que le camion avait en réserve. La fosse se remplit, puis des excréments envahirent tout le rez-de-chaussée. Toad, s’apercevant de son erreur, mit le levier dans l’autre sens. Le tuyau aspira toute la fosse, mais il restait des excréments dans toute la maison.

DAISY (très en colère) : Vous allez me nettoyer tout ça et en vitesse !
TOAD : D’accord… hic ! On va aspirer tout… hic !

Toad et Toadette commencèrent à aspirer tous les excréments au sol. Mais Peach était au bord du malaise…

PEACH (tremblante): Mes chaussures… Mes magnifiques chaussures…
DAISY (en criant): Calme-toi ! Pas la peine de s’énerver !
MARIO : Que se passe-t-il ? Les pompiers sont là ?
DAISY : Non !
PEACH : Je… Contraction !

Peach s’allongea sur la table, elle était prise de contractions. Daisy, qui était infirmière, lui vint en aide.

DAISY : Courage ! Ca va passer !
PEACH (affolée): Je… perds les eaux !
PAULINE (étonnée) : Vous perdez vos os ? Mais il faut éloigner le chien pour pas qu’il les vole !

Pauline prit Chomp et le lança par-dessus la fenêtre. Luigi appela une ambulance pour Peach.

PAULINE : Maintenant, si vous le voulez bien, je me casse.
DAISY : Restez ici ! Vous couvrez l’odeur des excréments !
LUIGI : J’entends les pompiers !

Le Capitaine Yoshi et sa brigade arrivèrent. Le Capitaine jeta un coup d’œil à la maison. Il vit les videurs complètement ivres, les excréments au sol, Peach qui accouchait, le salon à moitié brûlé…

CAPITAINE YOSHI : Nous sommes dans une maison de fous !
LUIGI : Mon frère est dans la cheminée ! Allez l’aider !
CAPITAINE YOSHI : On y va, on y va !

Le Capitaine monta sur l’échelle de son camion et se dirigea vers le toit.

DAISY : Luigi, appelle une ambulance pour Peach !
LUIGI : C’est déjà fait !
PEACH : GNNNNNNNNNNNNNN !
DAISY : Pousse encore une fois !
PEACH : GNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN !
DAISY : Encore une fois !
PEACH : GNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN !

Daisy récupéra le bébé. Le Capitaine Yoshi descendit.

CAPITAINE YOSHI : Je suis désolé, mais il va falloir détruire votre cheminée !
DAISY : Hors de question !
CAPITAINE YOSHI : Trop tard, mes hommes ont déjà commencé !

Une ambulance arriva. Les infirmiers prirent Peach et son bébé. Daisy monta avec eux.

LUIGI : Ben merci de me laisser seul !
PAULINE : Je peux partir !
LUIGI (énervé) : Oui, allez-vous-en !

Pauline s’en alla. Toad et Toadette arrivèrent pour signaler qu’ils avaient tout nettoyé !

LUIGI : Partez alors !
TOAD : Hic ! L’odeur restera… hic… pendant quelques semaines… hic !

Les deux videurs partirent. Dix minutes plus tard, les pompiers avaient débloqué Mario en détruisant la cheminée. Les pompiers s’en allèrent en écrasant Chomp qui dormait au milieu de la route.

MARIO : Où est ma femme ?
LUIGI : Elle a accouché. Puis elle est partie à l’hôpital avec Daisy !
MARIO : J’y vais !
LUIGI : Attends-moi !

Les deux hommes coururent jusqu’à l’hôpital. Minuit sonna. L’enfant de Peach était-il le nouveau Christ, version féminine ? Ou était-ce une pure coïncidence ?

Dans tous les cas, ce réveillon de Noël fut plus que raté. Tellement raté que les prochains réveillons de la famille se firent tous chez Mario, Peach et Bébé Peach. Et Daisy ne voulut plus entendre parler de cette soirée catastrophique, sous peine de recevoir une bonne gifle.


"Ne bouge pas, tu as une mouche sur le nez..."
Donkey Kong, à un futur blessé